Cette tradition annuelle des vœux et autres résolutions, décriée à cause de tant de dégâts planétaires (catastrophes et crimes vécu·es), peut être délicate à accomplir ou réalisée sans avoir le cœur à le faire.
Le 1er janvier 1945 à Hiroshima, les gens s’étaient souhaité une bonne et heureuse année.
Philippe Geluck
Source : https://www.google.com/search?q=voeux+bonne+année+hiroshima+geluck
Personnellement, je m’y essaie, comme je le peux et le sens. J’en profite aussi pour me (re)poser et prendre le temps de regarder ce qu’il s’est passé les 365 jours précédents. Et donc, quoi de neuf ?
Je fais le constat d’un ingrédient essentiel : une bonne santé pour pouvoir vivre et rayonner à sa façon… ou pas. C’est le premier souhait évident. J’ajoute des souhaits supplémentaires avec cette phrase : « Tout ce qu’il y a de meilleur à l’occasion de la nouvelle année ». Il reste juste alors à savoir pour chacun·e d’entre nous ce que l’on met dans la plénitude « tout ». Savons-nous nécessairement ce qu’il y a de bon, de meilleur pour nous ? Peut-on vraiment le savoir ? Sourire espiègle.
Wszystkiego najlepszego z okazji nowego roku!
Une formule polonaise pour exprimer ses souhaits pour le Nouvel An.
Traduction littérale en français : « Tout ce qu’il y a de meilleur à l’occasion de la nouvelle année. »
Source : https://www.google.com/search?q=wszystkiego+najlepszego+z+okazji+nowego+roku
A l’heure où le brouillard et les embrouilles semblent brouiller le présent, l’avenir peut paraître bien incertain et même menaçant pour bien des personnes. En effet, l’arbitrage des scrutins dans nos démocraties qui ressemble (trop ?) à l’arbitraire du pouvoir d’un rapport de force conduisant à l’oppression, ce n’est pas du tout rassurant pour un vivre-ensemble serein. Donc, du pouvoir de construire de la réassurance, de la confiance, pour éclairer les sentiers tortueux et obscurs et pouvoir avancer le cœur rassuré et apaisé, avec une bonne dose d’espoir, d’espérance. Plus que jamais, l’empathie constitue un élément incontournable pour y parvenir. Voilà mon souhait pour cette année 2025.
Cette année, j’ai choisi comme image mise en avant de cet article une photo du télescope spatial James Webb de la NASA, la nébuleuse de la Carène, qui illustre un livre que je suis en train de lire intitulé A l’aube de nouveaux horizons de Nathalie A. Cabrol. Une photographie avec des lumières du passé… pour éclairer notre futur ? Les livres pour clarifier notre quotidien et pouvoir construire notre monde de demain ?